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2024-01-30 
4 février 2024, Journée mondiale contre le cancer : l’Institut national du cancer et l’Assurance Maladie appellent les Françaises et les Français à se faire dépister

Comme chaque année, le 4 février marque la journée mondiale de lutte contre les cancers. Avec plus de 433 000 nouveaux cas chaque année et 157 000 décès, le cancer reste la première cause de décès dans notre pays. Pour réduire le poids de la maladie dans le quotidien de chacun, les deux institutions rappellent l’intérêt majeur des dépistages organisés des cancers1 dont la population invitée ne bénéficie pas assez.
Lorsqu’il est détecté précocement, un cancer se guérit mieux avec des traitements généralement moins lourds. Plus de dépistages, c’est donc une meilleure qualité de vie et des décès par cancers évités.
La stratégie décennale de lutte contre les cancers fixe l’objectif de 1 million de dépistages supplémentaires à horizon 2025. L’Institut national du cancer et l’Assurance Maladie font le point sur quelques mesures phares de la feuille de route « Priorité dépistages » mise en place par la direction générale de la santé au service des citoyens. Celle-ci intègre désormais des parcours d’invitation renforcés et des actions majeures d’aller vers individualisés et. Les deux institutions appellent à une mobilisation générale pour, ensemble, vaincre les cancers.

Priorité Dépistages : de l’intention à l’action


Parce qu’il permet de détecter un cancer à un stade précoce et d’augmenter considérablement les chances de guérison, le dépistage est un véritable enjeu de santé publique.
Même si l’adhésion au principe du dépistage organisé est élevée au sein de la population française (94 % des femmes se déclarent favorables au dépistage du cancer du sein et 94 % des hommes et femmes au dépistage du cancer colorectal2, le passage à l’acte demeure insuffisant. Pourtant, nous savons qu’une augmentation significative de la participation, notamment pour le dépistage du cancer colorectal qui n’enregistre que 34 % de participation, représente un potentiel de gain considérable en termes de nouveaux cas et de mortalité. Ainsi, si ce taux atteignait 65 %, 5 700 cancers colorectaux et 6 600 décès3 pourraient être évités chaque année.
Accompagner davantage les populations et les professionnels de santé concernés et faciliter l’accès aux tests demeurent une priorité dans l‘évolution des programmes de dépistages.

Retrouvez l'ensemble du communiqué de presse


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