HTDS     PAN AFRICAN CHEMISTRY CONGRESS     NEWSLETTER AFRIQUE    


 

2024-09-16 
InBrain Pharma annonce la publication d'un article sur les limites pharmacocinétiques et pharmacodynamiques de la L-DOPA dans le Journal of Parkinson's Disease

Lille, le 11 septembre 2024 - InBrain Pharma, société biopharmaceutique spécialisée dans les maladies neurodégénératives, annonce la publication d’un article intitulé « Effectiveness of Continuous Dopaminergic Therapies in Parkinson’s Disease : A Review of L-DOPA Pharmacokinetics/Pharmacodynamics » sur les limites pharmacocinétiques et pharmacodynamiques de la L-DOPA chez les parkinsoniens dans le Journal of Parkinson’s Disease paru en juillet 2024.
 
Cet article synthétise la littérature existante en général sur les limites de la L-DOPA, pilier du traitement de la maladie de Parkinson et en particulier, lors de son usage, dans le cadre d’une stimulation dopaminergique continue soulignant la nécessité de nouvelles pistes thérapeutiques.
 
La maladie de Parkinson est caractérisée par un déficit en dopamine striatale. La dopamine ne pouvant pas traverser les barrières digestive et hémato-encéphalique, son précurseur, la lévodopa (L-DOPA), reste le pilier du traitement. Cependant, les importantes limitations pharmacocinétiques et pharmacodynamiques de la L-DOPA, combinées à l’évolution et à la gravité de la maladie de Parkinson, déclenchent après quelques années des complications motrices et non motrices, ayant conduit au développement de thérapies permettant une stimulation dopaminergique continue mais demeurant largement insuffisantes.
 
Après avoir retenu les 10 articles les plus pertinents de la littérature, Il a été démontré que les problèmes pharmacocinétiques et pharmacodynamiques de la L-DOPA comprennent notamment : un passage digestif et cérébral restreints, une distribution périphérique inutile, une demi-vie courte, un déclin induit par l'âge et la maladie de Parkinson de l’activité de la décarboxylase L-aminoacide aromatique centrale enzyme clé convertissant la L-DOPA en dopamine, une mauvaise distribution dans de nombreuses cellules et une stimulation pulsatile des récepteurs dopaminergiques. Les traitements actuels à base de L-DOPA même autres que ceux pour la voie orale n’apportent pas de réponse satisfaisante à ces limitations.

Communiqué de presse


Partager cette brève :