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2025-02-12 
Le CMUH recommande RYBREVANT®▼ (amivantamab) par voie sous-cutanée dans le cadre du traitement des patients atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules avancé avec mutations de l’EGFR

Les données issues de l’étude de Phase 3 PALOMA-3 ont révélé une non-infériorité par rapport à l’administration intraveineuse pour les deux co-critères d’évaluation pharmacocinétiques principaux, ainsi qu’une division par cinq du nombre de réactions liées à la perfusion et une diminution du nombre d’événements thromboemboliques veineux1

Le CMUH a rendu un avis favorable envers l’extension de l’autorisation de mise sur le marché de l’amivantamab par voie sous-cutanée dans le cadre d’une administration toutes les deux semaines


BEERSE, BELGIQUE, 07 févr. 2025 (GLOBE NEWSWIRE) -- Janssen-Cilag International NV, une société de Johnson & Johnson, annonce ce jour que le Comité des médicaments à usage humain (le CMUH) de l’Agence européenne des médicaments (l’AEM) a recommandé une extension de l’autorisation de mise sur le marché d’une formulation sous-cutanée (SC) de RYBREVANT®▼ (amivantamab), en association avec LAZCLUZE®▼ (lazertinib) dans le traitement de première intention des patients adultes atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) avancé avec mutations du récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR) par délétions de l’exon 19 ou substitution L858R de l’exon 21, et en monothérapie dans le traitement des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations activatrices de l’exon 20 de l’EGFR après échec d’un traitement à base de platine. Pour ces indications, il est recommandé d’administrer l’amivantamab par voie SC à fréquence hebdomadaire de la Semaine 1 à la Semaine 4 (soit quatre doses au total), puis chaque deux semaines dès la Semaine 5.1

« La formulation sous-cutanée de l’amivantamab améliore l’expérience thérapeutique des patients, en ramenant la durée d’administration de plusieurs heures à quelques minutes et en réduisant considérablement les taux de réactions liées à la perfusion par rapport au traitement intraveineux actuellement autorisé », indique Silvia Novello, Docteur en Médecine, Titulaire d’un Doctorat, Professeure d’Oncologie Médicale au Département d’Oncologie de l’Hôpital San Luigi d’Orbassano à l’Université de Turin, Italie.* « Cet avis favorable du CMUH marque une étape décisive dans le traitement du CPNPC avec mutations de l’EGFR, capable d’améliorer la pratique clinique de manière significative et de permettre aux patients de passer plus de temps auprès de leurs proches et de se concentrer sur ce qui compte le plus à leurs yeux. »

L’avis favorable du CMUH est étayé par les résultats positifs de l’étude de Phase 3 PALOMA-3 (NCT05388669), qui visait à évaluer la non-infériorité de la pharmacocinétique (PK) ainsi que l’efficacité et l’innocuité de l’amivantamab par voie SC (administré par injection manuelle) comparativement à l’amivantamab par voie intraveineuse (IV) (la voie d’administration actuellement autorisée), tous deux administrés en association avec le lazertinib, chez des patients atteints d’un CPNPC avancé ou métastatique avec mutations de l’EGFR après progression de la maladie sous osimertinib et chimiothérapie à base de platine.1,2 L’étude a démontré que l’amivantamab administré par voie SC était non inférieur à l’amivantamab administré par voie IV, et qu’il répondait aux deux co-critères d’évaluation PK principaux tels que mesurés par les concentrations d’amivantamab dans le sang (Cmin et l’aire sous la courbe des concentrations sériques en fonction du temps du Jour 1 au Jour 15 du Cycle 2).1 Après un suivi médian de 7 mois, le taux de réponse globale (critère d’évaluation secondaire) s’établissait à 30 pour cent (intervalle de confiance [IC] à 95 pour cent, 24–37) dans le groupe SC et à 33 pour cent (IC à 95 pour cent, 26–39) dans le groupe IV (risque relatif, 0,92 ; IC à 95 pour cent, 0,70–1,23 ; P = 0,001), répondant ainsi aux critères de non-infériorité.1

La durée d’administration de l’amivantamab par voie SC a été ramenée à environ cinq minutes, contre près de cinq heures pour la première perfusion d’amivantamab par voie IV (sur deux jours) et a démontré une division par cinq des réactions liées à la perfusion (RLP).1 Ces résultats ont fait l’objet d’une présentation orale à l’occasion de l’édition 2024 du congrès annuel de l’ASCO, l’American Society of Clinical Oncology et ont paru dans le Journal of Clinical Oncology.1,3

« Chez Johnson & Johnson, nous nous engageons à optimiser chaque étape du traitement du cancer du poumon pour les patients et les professionnels de santé » souligne Henar Hevia, Titulaire d’un doctorat, Directrice Principale du Secteur Thérapeutique EMOA pour l’Oncologie chez Johnson & Johnson Innovative Medicine. « L’avis favorable du CMUH à l’égard de l’amivantamab par voie sous-cutanée nous rapproche encore davantage de notre but. En effet, ce traitement procure tous les bénéfices déjà établis de l’amivantamab par voie IV en termes d’efficacité. Tout en présentant de meilleurs résultats en matière d’innocuité, il offre aux patients une plus grande commodité. »
Le taux de RLP chez les patients traités par amivantamab par voie SC associé au lazertinib s’est avéré environ cinq fois inférieur à celui observé avec la formulation IV (13 pour cent contre 66 pour cent, respectivement).1 Toutes les RLP étaient de grade 1 et 2, un seul patient ayant présenté une RLP de grade 3 dans le bras SC.1 L’anticoagulation préventive (prophylaxie) a été utilisée chez la plupart des patients de l’étude PALOMA-3.1 Les patients ayant reçu une anticoagulation prophylactique ont présenté des taux de TEV plus faibles (10 pour cent) que ceux n’ayant pas reçu de prophylaxie (21 pour cent).1 En outre, l’incidence de la TEV s’est montrée numériquement plus faible dans le bras SC que dans le bras IV (9 pour cent contre 14 pour cent), quel que soit le statut de l’anticoagulation.1 Les risques hémorragiques sévères (de grade 3 à 4) ont été peu nombreux chez les patients ayant reçu des anticoagulants dans les bras SC (2 pour cent) et IV (0,6 pour cent).1 Par ailleurs, le profil d’innocuité global de l’amivantamab par voie SC est conforme au profil connu de la formulation IV.1 Parmi les effets indésirables de l’amivantamab par voie SC déclarés chez ≥ 20 pour cent des patients, tous grades confondus, par rapport à la formulation IV, les plus fréquents ont été la paronychie (54 pour cent contre 51 pour cent), l’hypoalbuminémie (47 pour cent contre 37 pour cent) et les éruptions cutanées (46 pour cent contre 43 pour cent), respectivement.1

« À l’appui de ses trois décennies d’innovation dans le domaine de l’oncologie, Johnson & Johnson s’est profondément engagée à explorer des approches novatrices pour répondre aux besoins urgents des patients », relève Joshua Bauml, Docteur en Médecine, Vice-Président, Leader du Bastion des Pathologies Spécialisé dans le Cancer du Poumon, Johnson & Johnson Innovative Medicine. « Nous avons hâte de proposer cette nouvelle option thérapeutique aux patients européens, car nous entendons bien révolutionner les résultats obtenus dans le cadre du cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) avec mutations de l’EGFR. »

À propos de l’Amivantamab
L’amivantamab est un anticorps bispécifique anti EGFR-MET entièrement humain dont l’action cible les tumeurs présentant des mutations activatrices et résistantes de l’EGFR ainsi que des mutations et amplifications MET, et qui exploite le système immunitaire.4,5,6,7
La Commission européenne (CE) a accordé une autorisation de mise sur le marché de l’amivantamab par voie intraveineuse selon les indications suivantes :7
•    En association avec le lazertinib pour le traitement de première intention des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations de l’EGFR par délétions de l’exon 19 ou substitution L858R de l’exon 21.
•    En association avec le carboplatine et le pémétrexed, dans le traitement des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations de l’EGFR par délétions de l’exon 19 ou substitution L858R de l’exon 21, après échec d’un traitement antérieur comprenant un ITK de l’EGFR.
•    En association avec le carboplatine et le pémétrexed, dans le traitement de première intention des patients adultes atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) avancé présentant des mutations par insertion de l’exon 20 activatrices de l’EGFR.
•    En monothérapie, dans le traitement des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé présentant des mutations activatrices de l’exon 20 de l’EGFR, après échec d’un traitement à base de platine.
L’amivantamab par voie sous-cutanée est coformulé avec la hyaluronidase humaine recombinante PH20 (rHuPH20), la technologie d’administration de médicaments ENHANZE® de Halozyme.1
Le CMUH a recommandé l’utilisation de l’amivantamab par voie sous-cutanée (SC) en association avec le lazertinib dans le traitement de première intention des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations de l’EGFR de type ex19del ou L858R, et l’utilisation de l’amivantamab par voie SC en monothérapie chez les patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations par insertion de l’exon 20 activatrices de l’EGFR, après échec d’un traitement à base de platine.8 Le schéma posologique recommandé pour l’amivantamab par voie SC dans ces indications est de 1 600 mg (2 240 mg pour un poids corporel ≥ 80 kg) administrés à fréquence hebdomadaire de la Semaine 1 à la Semaine 4 (soit quatre doses au total), puis chaque deux semaines à partir de la Semaine 5 (Q2S).1 En cas d’administration en association avec le lazertinib, il est recommandé d’administrer l’amivantamab par voie sous-cutanée à n’importe quel moment après le lazertinib lorsqu’il est administré le même jour.7
Pour obtenir la liste complète des effets indésirables et des informations sur la posologie et l’administration, les contre-indications et les autres précautions d’emploi de l’amivantamab, veuillez consulter le résumé des caractéristiques du produit.7
▼ Conformément à la réglementation de l’AEM relative aux nouveaux médicaments, l’amivantamab fait l’objet d’une surveillance supplémentaire.

À propos du Lazertinib
En 2018, Janssen Biotech, Inc. a conclu un accord de licence et de collaboration avec Yuhan Corporation pour le développement du lazertinib. Le lazertinib est un inhibiteur de la tyrosine kinase (ITK) de troisième génération administrée par voie orale, qui pénètre dans le cerveau et cible à la fois la mutation T790M et les mutations activatrices de l’EGFR, tout en épargnant l’EGFR de type sauvage.9 Une analyse de l’efficacité et de l’innocuité du lazertinib issue des données de la Phase 3 de l’étude LASER301 a été publiée dans The Journal of Clinical Oncology en 2023.9
En janvier 2025, la Commission européenne (CE) a approuvé une autorisation de mise sur le marché du lazertinib, en association avec l’amivantamab, pour le traitement de première intention des patients adultes atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) avancé avec mutations de l’EGFR par délétions de l’exon 19 ou substitution L858R de l’exon 21.10
▼ Conformément à la réglementation de l’AEM relative aux nouveaux médicaments, le lazertinib fait l’objet d’une surveillance supplémentaire.

À propos de PALOMA-3
L’étude PALOMA-3 (NCT05388669), qui a recruté 418 patients, est une étude de Phase 3 randomisée et ouverte visant à évaluer la non-infériorité de la pharmacocinétique (PK), l’efficacité et l’innocuité de l’amivantamab par voie sous-cutanée (administré par injection manuelle) associé au lazertinib par rapport à l’amivantamab par voie IV plus lazertinib administrés chez des patients atteints d’un CPNPC avancé ou métastatique avec mutations de l’EGFR après progression de la maladie sous osimertinib et chimiothérapie à base de platine.2 Les co-critères d’évaluation PK principaux de l’étude étaient la concentration minimale (Cmin au Jour [J] 1 du Cycle [C] 2 ou J1C4) et l’aire sous la courbe du C2 (ASCJ1–J15).2 Les principaux critères d’évaluation secondaires se rapportaient au taux de réponse objective et à la survie sans progression (SSP).2 La survie globale était un paramètre exploratoire prédéfini.1 Une anticoagulation prophylactique était recommandée au cours des quatre premiers mois de traitement.1

À propos du Cancer du Poumon Non à Petites Cellules
On estime qu’en Europe, un cancer du poumon a été diagnostiqué chez 484 306 personnes en 2022.11 Le CPNPC représente 85 pour cent de tous les cas de cancer du poumon.12 Le cancer du poumon est le plus meurtrier d’Europe, causant plus de décès que le cancer du sein et le cancer de la prostate réunis.11
Les principaux sous-types de CPNPC sont l’adénocarcinome, le carcinome épidermoïde et le carcinome à grandes cellules.12Parmi les mutations « driver » les plus fréquentes dans le CPNPC figurent les altérations de l’EGFR, un récepteur à activité tyrosine kinase contrôlant la croissance et la division cellulaires.12,13 Les mutations de l’EGFR sont présentes chez 10 à 15 pour cent des patients occidentaux atteints d’un CPNPC avec histologie d’adénocarcinome et chez 40 à 50 pour cent des patients asiatiques.14,15,16,17 Les mutations ex19del ou L858R de l’exon 21 sont les mutations de l’EGFR les plus fréquentes.18 Le taux de survie à cinq ans pour tous les patients atteints d’un CPNPC avancé avec mutations de l’EGFR, traités par des ITK de l’EGFR, est inférieur à 20 pour cent et entre 25 et 32 pour cent des patients recevant l’osimertinib, l’actuel traitement de première intention de référence, ne restent pas en vie suffisamment longtemps pour pouvoir bénéficier du traitement de deuxième intention.19,20,21,22,23,24 Les mutations par insertion de l’exon 20 (ex20ins) de l’EGFR représentent la troisième mutation activatrice de l’EGFR la plus répandue.25 Les patients présentant des mutations ex20ins de l’EGFR présentent une SG en conditions réelles à cinq ans de huit pour cent en première intention, ce qui est pire que les patients présentant des mutations ex19del ou L858R de l’EGFR, dont la SG en conditions réelles à cinq ans s’établit à 19 pour cent.20

À propos de Johnson & Johnson
Chez Johnson & Johnson, nous pensons que la santé est essentielle. Notre force d’innovation en matière de soins de santé nous permet de construire un monde où les maladies complexes sont prévenues, traitées et guéries, où les traitements sont plus intelligents et moins invasifs et où les solutions sont personnalisées. Grâce à notre expertise en matière d’innovation au service de la médecine et de technologie médicale, nous sommes particulièrement bien placés pour apporter un souffle nouveau à l’ensemble des solutions de santé d’aujourd’hui afin de réaliser les percées de demain et d’avoir un impact profond sur la santé de l’humanité.
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Janssen-Cilag International NV, Janssen Research & Development, LLC, Janssen Biotech, Inc. et Janssen-Cilag, S.A. sont des sociétés de Johnson & Johnson.


Mises en garde relatives aux déclarations prospectives
Le présent communiqué de presse contient des « déclarations prospectives » au sens de la loi américaine Private Securities Litigation Reform Act de 1995 à propos du développement des produits, des bénéfices potentiels et de l’impact du traitement par amivantamab ou lazertinib. Il est conseillé au lecteur de ne pas s’y fier indûment. Ces déclarations reposent sur les attentes actuelles d’événements futurs. Si les hypothèses sous-jacentes s’avèrent inexactes ou si des risques ou des incertitudes connus ou inconnus se matérialisent, les résultats réels pourraient différer sensiblement des attentes et des projections de Janssen-Cilag International NV, Janssen Research & Development, LLC, Janssen Biotech, Inc., Janssen-Cilag, S.A., et/ou Johnson & Johnson. Les risques et incertitudes comprennent, sans s’y limiter : les enjeux et incertitudes inhérents à la recherche et au développement de produits, notamment l’incertitude de succès clinique et d’obtention des autorisations réglementaires ; l’incertitude du succès commercial ; les difficultés et retards de fabrication ; la concurrence, et particulièrement les avancées technologiques, les nouveaux produits et les brevets obtenus par nos concurrents ; les contestations de brevets ; les problèmes d’efficacité ou d’innocuité entraînant des rappels de produits ou des mesures réglementaires ; les changements de comportement et des habitudes de consommation des acheteurs de produits et services de soin de santé ; les évolutions juridiques et réglementaires applicables, y compris les réformes mondiales des soins de santé ; et les tendances en matière de maîtrise des coûts des soins de santé. Une liste et des descriptions supplémentaires de ces risques, incertitudes et autres facteurs figurent dans le rapport annuel de Johnson & Johnson sous formulaire 10-K pour l’exercice clos le 31 décembre 2024, y compris aux rubriques intitulées « Mises en garde relatives aux déclarations prospectives » et « Alinéa 1A. Facteurs de risque », ainsi que dans les rapports trimestriels ultérieurs de Johnson & Johnson sous formulaire 10-Q et autres documents déposés auprès de la Securities and Exchange Commission. Des exemplaires de ces documents sont disponibles en ligne à l’adresse http://www.sec.gov/, http://www.jnj.com/ ou sur demande auprès de Johnson & Johnson. Ni Janssen-Cilag International NV, Janssen Research & Development, LLC, Janssen Biotech, Inc., Janssen-Cilag, S.A., ni Johnson & Johnson ne s’engagent à mettre à jour les déclarations prospectives à la suite de nouvelles informations ou d’événements ou développements futurs.
© Janssen-Cilag International NV, Inc. 2025. Tous droits réservés.
* La Professeure Silvia Novello a été consultante pour Janssen-Cilag International NV ; elle n’a pas été rémunérée pour un quelconque travail médiatique.

Références
1 Leighl NB et al. Subcutaneous Versus Intravenous Amivantamab, Both in Combination With Lazertinib, in Refractory Epidermal Growth Factor Receptor–Mutated Non–Small Cell Lung Cancer: Primary Results From the Phase III PALOMA-3 Study. ASCO Journal of Clinical Oncology. 2024;42(3):3593-3605.
2 ClinicalTrials.gov. A Study of Lazertinib With Subcutaneous Amivantamab Compared With Intravenous Amivantamab in Participants With Epidermal Growth Factor Receptor (EGFR)-Mutated Advanced or Metastatic Non-small Cell Lung Cancer (PALOMA-3). https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT05388669. Consulté en janvier 2025.
3 Leighl N, et al. Subcutaneous Amivantamab Plus Lazertinib Vs Intravenous Amivantamab Plus Lazertinib In EGFR-mutated, Advanced Non-small Cell Lung Cancer (NSCLC): PALOMA-3, A Phase 3, Global, Randomized, Controlled Trial. Congrès annuel 2024 de l’American Society of Clinical Oncology. 31 mai 2024.
4 Moores SL, et al. A Novel Bispecific Antibody Targeting EGFR and cMet Is Effective against EGFR Inhibitor-Resistant Lung Tumors. Cancer Res 2016;76(13)(suppl 27216193):3942-3953.
5 Grugan KD, et al. Fc-mediated activity of EGFR x c-Met bispecific antibody JNJ-61186372 enhanced killing of lung cancer cells. Mabs. 2017;9(1):114-126.
6 Yun J, et al. Antitumor Activity of Amivantamab (JNJ-61186372), an EGFR–MET Bispecific Antibody, in Diverse Models of EGFR Exon 20 Insertion–Driven NSCLC. Cancer Discov. 2020;10(8):1194-1209.
7 Agence européenne des médicaments. Résumé des caractéristiques du produit de l’amivantamab. Août 2024. Disponible à l’adresse : https://www.ema.europa.eu/en/documents/product-information/rybrevant-epar-product-information_en.pdf. Consulté en janvier 2025.
8 Innovativemedicine.jnj.com/EMEA. Johnson & Johnson dépose, auprès de l’Agence européenne des médicaments, une demande d’autorisation de la formulation sous-cutanée de RYBREVANT®▼ (amivantamab) pour le traitement des patients atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules avec mutations de l’EGFR. Disponible à l’adresse : https://innovativemedicine.jnj.com/emea/newsroom/oncology/johnson-johnson-submits-application-to-the-european-medicines-agency-seeking-approval-of-subcutaneous-therapy-of-rybrevant-amivantamab-for-the-treatment-of-patients-with-egfr-mutated-non-small-cell-lung-cancer. Consulté en janvier 2025.
9 Cho, BC, et al. Lazertinib versus gefitinib as first-line treatment in patients with EGFR-mutated advanced non-small-cell lung cancer: Results From LASER301. J Clin Oncol. 2023;41(26):4208-4217.
10 Innovativemedicine.jnj.com/EMEA. La Commission européenne autorise LAZCLUZE®▼ (lazertinib) en association avec RYBREVANT®▼ (amivantamab) dans le cadre du traitement de première intention du cancer du poumon non à petites cellules avancé avec mutations de l’EGFR. Disponible à l’adresse : https://www.jnj.com/media-center/press-releases/european-commission-approves-lazcluze-lazertinib-in-combination-with-rybrevant-amivantamab-for-the-first-line-treatment-of-patients-with-egfr-mutated-advanced-non-small-cell-lung-cancer. Consulté en janvier 2025
11 Global Cancer Observatory. Cancer Today. Disponible à l’adresse : https://gco.iarc.fr/en. Consulté en janvier 2025.
12 Zappa C, et al. Non-small cell lung cancer: current treatment and future advances. Transl Lung Cancer Res. 2016;5(3):288–300.
13 Wee P, Wang Z. Epidermal Growth Factor Receptor Cell Proliferation Signaling Pathways. Cancers. 2017;9(5):52.
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CP-499032
Janvier 2025

 


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