2023-12-18
De nouvelles données présentées lors de la réunion de l’ASH dans le cadre de l’étude GLOW de phase 3
De nouvelles données présentées lors de la réunion de l’ASH dans le cadre de l’étude GLOW de phase 3 indiquent qu’un traitement de première intention à durée fixe par IMBRUVICA® (ibrutinib) plus vénétoclax a démontré un taux de survie globale de plus de 84 pour cent à 54 mois chez les patients atteints de leucémie lymphoïde chronique
Des données supplémentaires issues de l’étude de phase 2 CAPTIVATE indiquent que 82 pour cent des patients atteints de leucémie lymphoïde chronique (LLC) non précédemment traités et traités par ibrutinib à durée fixe plus vénétoclax ne nécessitaient pas de traitement de deuxième intention à 54 mois1,2
BEERSE, BELGIQUE, 15 déc. 2023 (GLOBE NEWSWIRE) -- Les laboratoires pharmaceutiques Janssen de Johnson & Johnson ont annoncé ce jour la disponibilité de nouvelles données de suivi à long terme lors de la réunion annuelle 2023 de l’American Society of Hematology (ASH), issues de l’étude GLOW de phase 3 (résumé no 634) et de l’étude CAPTIVATE de phase 2 (résumé no 633) évaluant un traitement de première intention à durée fixe par IMBRUVICA® (ibrutinib) plus vénétoclax (I+V), toutes deux présentées sous forme de présentations orales lors du congrès, ayant lieu à San Diego du 9 au 12 décembre.1,2 L’étude GLOW a mis en évidence un taux de survie globale (SG) estimé à 84,5 pour cent à 54 mois, chez les patients atteints de LLC plus âgés et/ou présentant des comorbidités non précédemment traités et traités par I+V, par rapport à 63,7 pour cent chez les patients traités par chlorambucil plus obinutuzumab (Clb+O).1
Les résultats de phase 2 de l’étude CAPTIVATE, ayant utilisé un schéma posologique I+V similaire à celui de l’étude GLOW, ont mis en évidence des rémissions profondes associées à une survie sans progression (SSP) cliniquement significative avec l’association I+V.2 Dans la cohorte I+V à durée fixe (DF), les taux de SSP sont restés élevés et durables, avec 70 pour cent (intervalle de confiance [IC] à 95 pour cent, 62–77) des patients traités par I+V toujours en vie et ne présentant pas de progression de la maladie après 54 mois.2
« Nous sommes extrêmement fiers de l’impact continu de l’ibrutinib sur l’amélioration des résultats et de l’expérience des patients atteints de LLC », a déclaré Edmond Chan, titulaire d’un bachelor en médecine et d’un bachelor en chirurgie, docteur en médecine (recherche), directeur principal, responsable du domaine thérapeutique de l’hématologie pour la zone EMEA chez Janssen-Cilag Limited. « Il s’agit de la seule thérapie ciblée à démontrer un bénéfice significatif en matière de survie globale dans les études randomisées de phase 3 dans ce contexte de première intention, et les dernières données présentées à l’ASH 2023 indiquent qu’avec un suivi plus long, ce schéma thérapeutique par association à base d’ibrutinib à durée fixe permet de maintenir des réponses profondes et durables, y compris chez les patients présentant un risque accru. »
Données sur les bénéfices en matière de survie et le délai jusqu’au prochain traitement dans le traitement de première intention par ibrutinib plus vénétoclax à durée fixe au cours du suivi médian de 57 mois de l’étude GLOW
Au cours de l’étude GLOW, des patients atteints de LLC âgés de ≥ 65 ans ou âgés de 18 à 64 ans et présentant également un score sur l’échelle d’évaluation des maladies cumulatives (cumulative illness rating scale, CIRS) supérieur à six, ou une clairance de la créatine inférieure à 70 ml/min ont été randomisés pour recevoir I+V (n=106) ou Clb+O (n=105).1
« Les résultats des données mises à jour sur cinq ans issues de l’étude GLOW continuent de démontrer l’efficacité durable de l’association I+V à durée fixe chez les patients âgés et ceux présentant des comorbidités avec une LLC non précédemment traitée », a déclaré George Follows, titulaire d’un doctorat, hématologue consultant à l’hôpital Addenbrooks de l’Université de Cambridge et responsable de clinique pour le lymphome/LLC.* « Bien qu’il n’existe actuellement aucun remède contre la LLC, l’efficacité constante et les réponses durables constatées après près de cinq ans de suivi sont très encourageantes. »
Résultats de l’étude GLOW de phase 3
• Avec un suivi médian de 57,3 mois (intervalle : 1,7–65,2), le critère d’évaluation principal, la SSP, est resté supérieur pour l’association I+V par rapport à l’association Clb+O (RR 0,256 [IC à 95 pour cent, 0,172–0,382]).1
o Les taux de SSP estimés à 54 mois étaient de 66,5 pour cent chez les patients traités par I+V, contre 19,5 pour cent chez ceux traités par Clb+O.1
o Les patients traités par I+V ont continué à bénéficier d’un avantage en matière de SG, avec un risque de décès réduit de 55 pour cent (RR 0,453 [IC à 95 pour cent, 0,261–0,785]; p = 0,0038).1 Les taux de SG estimés à 54 mois étaient de 84,5 pour cent dans le bras I+V, contre 63,7 pour cent chez les patients du bras témoin traités par Clb+O.1
• Le risque associé à la nécessité d’un traitement de deuxième intention a été significativement réduit de 82 pour cent avec I+V en première intention par rapport à Clb+O (RR 0,185 [IC à 95 pour cent, 0,096–0,355] ; p < 0,0001).1
o À 54 mois, 87,9 pour cent des patients traités par I+V n’ont pas nécessité de traitement ultérieur.1
• L’association I+V a entraîné des taux de SSP à 54 mois chez les patients présentant un gène non muté des régions variables de la chaîne lourde des immunoglobulines (unmutated immunoglobulin heavy-chain variable, uIGHV ; n=67) et un gène muté des régions variables de la chaîne lourde des immunoglobulines (mutated immunoglobulin heavy-chain variable, mIGHV ; n=32) de 59 pour cent et 90 pour cent, respectivement.1
• Chez les patients présentant un mIGHV, les taux de SSP à 42 mois après le traitement par I+V étaient supérieurs ou égaux à 91 pour cent quel que soit le statut de maladie résiduelle minimale (MRM) trois mois après la fin du traitement (FdT+3).1
• Chez les patients présentant un uIGHV, les taux de SSP trois ans après le traitement par I+V étaient de 81 pour cent pour les patients avec une MRM indétectable (MRMi) à FdT+3.1,3
• Trente-huit mois après la fin du traitement par I+V, 32,1 pour cent des patients présentaient une MRMi.1 Parmi les patients ayant atteint un statut de MRMi trois mois après le traitement par I+V (n=58), 53,4 pour cent ont conservé le statut de MRMi 38 mois après le traitement.1,3
• Les résultats issus de l’étude de suivi de quatre ans ont été récemment publiés dans The Lancet Oncology, le 6 novembre 2023.
Données sur le retraitement par ibrutinib en monothérapie dans l’étude CAPTIVATE de phase 2 (PCYC-1142)
Les résultats de phase 2 de la cohorte DF issus de l’étude CAPTIVATE, ayant utilisé un schéma posologique I+V similaire à celui de l’étude GLOW chez des patients atteints de LLC âgés de 70 ans maximum, ont démontré des rémissions profondes et une SSP cliniquement significative avec l’association I+V. Les patients présentant une MRM ont également été évalués.2
Résultats de l’étude CAPTIVATE de phase 2
• Après près de cinq ans, 82 pour cent des patients n’avaient pas nécessité de ligne de traitement ultérieure contre la LLC (IC à 95 pour cent, 76–87).2
• Sur les 202 patients traités par I+V dans la cohorte DF (n=159) ou la cohorte MRM (n=43), 53 patients ont présenté une progression de la maladie (PM) à ce jour, la majorité étant survenue après deux ans de traitement.2
o Vingt-deux de ces patients ont début un retraitement par ibrutinib en monothérapie.2 Avec un suivi médian de 17 mois (intervalle: 0–45), le taux de réponse global (TRG) chez 21 patients dont la réponse était évaluable était de 86 pour cent, avec réponse complète (RC) (n=1 [5 pour cent]) comme meilleure réponse, réponse partielle (RP; n 17 [81 pour cent]), RP avec lymphocytose (n=1 [5 pour cent]), maladie stable (n=1 [5 pour cent]) et PM (n=1 [5 pour cent]).2,4
o Parmi ces patients, aucune réduction de la dose d’ibrutinib ni aucun arrêt en raison d’effets indésirables (EI) n’a été observé chez ceux ayant été retraités avec l’ibrutinib en monothérapie.2
• Dans la cohorte DF, les taux de SSP et de SG à 54 mois étaient de 70 pour cent (IC à 95 pour cent, 62–77) et de 97 pour cent (IC à 95 pour cent, 93–99), respectivement.2
Les données mises à jour pour les deux études ont montré que le profil d’innocuité du schéma posologique I+V était cohérent avec les profils d’innocuité connus de l’ibrutinib et du vénétoclax.2 L’innocuité n’a pas été évaluée davantage dans l’étude GLOW, car tous les patients avaient déjà dépassé la période de survenue en cours de traitement dans le cadre des analyses précédentes.1 L’analyse de l’innocuité s’est limitée à l’incidence de deuxièmes tumeurs malignes primaires.1 Au cours de l’étude CAPTIVATE, les EI graves considérés comme liés au traitement à l’étude et aux deuxièmes tumeurs malignes ont continué à être recueillis après la fin du traitement à durée fixe.2 Au total, huit pour cent des patients ont présenté une deuxième tumeur maligne primaire et un EI de carcinome basocellulaire est survenu au cours de cette année de suivi supplémentaire.2
« Les études GLOW et CAPTIVATE sont les études sur l’association I+V de durée fixe les plus longues jamais menées chez des patients atteints de LLC, avec près de cinq ans de résultats », a déclaré Craig Tendler, docteur en médecine, vice-président du développement avancé et des affaires médicales mondiales chez Johnson & Johnson Innovative Medicine. « La cohérence des données issues de ces études permet d’étayer l’utilisation de l’association I+V comme traitement oral de première intention, et démontre encore davantage l’innovation scientifique à long terme que représente l’ibrutinib en matière d’évolution de la norme de soins pour les patients atteints de LLC et d’autres lymphomes de type B. »
À propos de l’étude GLOW
L’étude GLOW (NCT03462719) est un essai randomisé en ouvert de phase 3 ayant évalué l’efficacité et l’innocuité de l’administration d’I+V à durée fixe en première intention par rapport à Clb+O chez les patients âgés (≥ 65 ans) atteints d’une LLC ou chez les patients âgés de 18 à 64 ans présentant un score CIRS supérieur à six ou une clairance de la créatinine inférieure à 70 ml/min, qui présentaient une maladie évolutive nécessitant un traitement selon les critères du groupe de travail international sur la LLC (International Workshop on CLL, iwCLL). Les patients présentant des mutations del(17p) ou TP53 connues n’ont pas été inclus.1,5 211 patients ont été randomisés selon un rapport de 1/1 afin de recevoir l’association I+V (n = 106) et/ou Clb+O (n = 105), et l’âge médian était de 71 ans.5,6 Les patients affectés au groupe I+V ont reçu un traitement pendant 15 cycles (un cycle durant 28 jours), en commençant par trois cycles d’ibrutinib en monothérapie pendant la période d’introduction, suivis par l’association I+V pendant 12 cycles. Les patients affectés au groupe Clb+O ont été traités pendant six cycles.5
Parmi les patients ayant présenté une réponse partielle ou la meilleure réponse, la MRM dans le sang périphérique (SP) a été évaluée par séquençage de nouvelle génération (SNG) via clonoSEQ pendant le traitement, puis à des intervalles de 3 à 6 mois après le traitement.5,6 Les données de ClonoSEQ ont été utilisées dans le cadre des tests de clones de la LLC.5,6
Le critère d’évaluation principal était la SSP sur une période de jusqu’à deux ans et 10 mois.3 Les critères d’évaluation secondaires de l’étude comprenaient la SG, un taux de MRM négatif, une réponse complète, le TRG, la durée de la réponse et le délai avant le traitement ultérieur.5
À propos de l’étude CAPTIVATE
L’étude CAPTIVATE de phase 2 (NCT02910583) a évalué des patients adultes atteints de LLC non précédemment traités et âgés de 70 ans ou moins, y compris des patients présentant une maladie à haut risque, au sein de deux cohortes : une cohorte basée sur la MRM (n = 164 ; âge médian, 58 ans) et une cohorte basée sur la durée fixe (n = 159 ; âge médian, 60 ans).2,7,8 Les patients ont reçu trois cycles d’ibrutinib pendant la période d’introduction suivis de 12 cycles d’I+V (ibrutinib oral [420 mg/j] ; vénétoclax oral [augmentation de la dose sur cinq semaines jusqu’à 400 mg/j]) et le critère d’évaluation principal était la survie sans maladie à un an.7 Au sein de cette cohorte basée sur la MRM, après la fin du traitement par I+V, les patients présentant une MRMi confirmée ont été randomisés pour recevoir un traitement en double aveugle avec placebo (c.-à-d., un schéma posologique à durée fixe) ou de l’ibrutinib en continu.7
À propos de l’ibrutinib
L’ibrutinib est un médicament administré une fois par jour par voie orale, et développé et commercialisé conjointement par Janssen Biotech, Inc. et Pharmacyclics LLC, une société AbbVie.9 L’ibrutinib bloque la tyrosine kinase de Bruton (BTK), une protéine dont les lymphocytes B normaux et anormaux, y compris certaines cellules cancéreuses spécifiques, ont besoin pour se multiplier et se propager.10 En bloquant la BTK, l’ibrutinib pourrait permettre de déplacer les lymphocytes B anormaux hors de l’environnement dont ils se nourrissent et inhiber leur prolifération.11
L’ibrutinib est approuvé dans plus de 100 pays et a été utilisé pour traiter plus de 295 000 patients à travers le monde.12 Il existe plus de 50 essais cliniques dont le promoteur est le laboratoire, dont 18 études de phase 3 menées sur 11 ans et évaluant l’efficacité et l’innocuité de l’ibrutinib.9,13 En octobre 2021, l’ibrutinib a été ajouté aux listes modèles des médicaments essentiels (LME) de l’Organisation mondiale de la santé, qui indiquent les médicaments répondant aux priorités en matière de santé mondiale qui devraient être disponibles et abordables pour tous.14
L’ibrutinib a été approuvé pour la première fois par la Commission européenne (CE) en 2014, et les indications approuvées à ce jour sont les suivantes :9
• En monothérapie ou en association avec le rituximab, l’obinutuzumab ou le vénétoclax pour le traitement des patients adultes atteints de LLC non précédemment traitée
• En monothérapie ou en association avec la bendamustine et le rituximab (BR) pour le traitement des patients adultes atteints de LLC ayant reçu au moins un traitement antérieur
• En monothérapie pour le traitement des patients adultes atteints d’un lymphome à cellules du manteau (LCM) en rechute ou réfractaire (R/R)
• En monothérapie pour le traitement des patients adultes atteints de la macroglobulinémie de Waldenström (MW) ayant reçu au moins un traitement antérieur, ou comme traitement de première intention pour les patients pour qui l’immunochimiothérapie n’est pas adaptée. En association avec le rituximab pour le traitement des patients adultes atteints de MW
Pour obtenir la liste complète des effets indésirables et des informations concernant la posologie et l’administration, les contre-indications et les autres précautions d’emploi de l’ibrutinib, veuillez vous référer au Summary of Product Characteristics (Résumé des caractéristiques du produit).
À propos de la leucémie lymphoïde chronique
La LLC se définit généralement comme un cancer du sang à progression lente touchant les globules blancs.15 L’incidence globale de la LLC en Europe est d’environ 4,92 cas pour 100 000 personnes par an et elle est environ 1,5 fois plus fréquente chez les hommes que chez les femmes.16 La LLC touche principalement les personnes âgées, avec un âge médian de 72 ans au moment du diagnostic.17
Si les résultats pour les patients se sont considérablement améliorés au cours des dernières décennies, la maladie se caractérise toujours par des épisodes consécutifs de progression et la nécessité d’un traitement.18 Les patients reçoivent souvent des prescriptions pour plusieurs lignes de traitement à mesure qu’ils rechutent ou deviennent résistants aux traitements.19
À propos des laboratoires pharmaceutiques Janssen de Johnson & Johnson
Chez Janssen, nous façonnons un avenir où les maladies n’ont plus leur place. Nous sommes un laboratoire pharmaceutique du groupe Johnson & Johnson et nous travaillons sans relâche pour que cet avenir devienne une réalité pour les patients du monde entier, en combattant la maladie par la science, en améliorant l’accès par l’ingéniosité et en guérissant le désespoir par tous nos efforts. Nous nous concentrons sur les domaines de la médecine où nous pouvons faire la plus grande différence : oncologie, immunologie, neurosciences, maladies cardiovasculaires, hypertension pulmonaire et rétine.
Pour en savoir plus, consultez notre site Internet à l’adresse suivante : www.janssen.com/emea. Suivez-nous sur www.linkedin.com/janssenEMEA pour connaître nos dernières actualités. Janssen Pharmaceutica NV, Janssen-Cilag Limited, Janssen Biotech et Janssen Research & Development, LLC font partie du laboratoire pharmaceutique Janssen du groupe Johnson & Johnson.
* Le Dr Follows a fourni des services de consultation, de conseil et de porte-parole à Janssen ; il n’a reçu aucune rémunération pour des travaux en lien avec les médias.
Mises en garde relatives aux déclarations prospectives
Ce communiqué de presse contient des « déclarations prospectives » telles que définies dans le Private Securities Litigation Reform Act de 1995 relatif au développement du produit, aux bénéfices potentiels et à l’impact du traitement par cilta-cel. Le lecteur est invité à ne pas se fier à ces déclarations prospectives. Ces déclarations sont basées sur les attentes actuelles d’événements futurs. Si les hypothèses sous-jacentes s’avéraient inexactes ou si des risques ou incertitudes connus ou inconnus se matérialisaient, les résultats réels pourraient différer sensiblement des attentes et des projections de Janssen Pharmaceutica NV, Janssen-Cilag Limited, Janssen Biotech, Jannsen Research & Development, LLC, et/ou de Johnson & Johnson. Les risques et incertitudes comprennent, sans s’y limiter, les défis et incertitudes inhérents à la recherche et au développement de produits, y compris l’incertitude du succès clinique et de l’obtention des autorisations réglementaires, l’incertitude du succès commercial, la concurrence, y compris les progrès technologiques, les nouveaux produits et les brevets obtenus par les concurrents, les contestations de brevets, les changements dans le comportement et les habitudes de dépenses des acheteurs de produits et services de soins de santé, les changements dans les lois et réglementations applicables, y compris les réformes mondiales des soins de santé, et les tendances en matière de maîtrise des coûts des soins de santé. Une liste et des descriptions supplémentaires de ces risques, incertitudes et autres facteurs peuvent figurer dans le rapport annuel de Johnson & Johnson sur formulaire 10-K pour l’exercice clos le 1er janvier 2023, y compris dans les sections intitulées « Mise en garde concernant les déclarations prospectives » et « Rubrique 1A. Facteurs de risque », et dans les rapports trimestriels ultérieurs de Johnson & Johnson sur formulaire 10-Q et autres documents déposés auprès de la Securities and Exchange Commission. Des copies de ces documents sont disponibles en ligne à l’adresse : http://www.sec.gov/, http://www.jnj.com/ ou sur demande auprès de Johnson & Johnson. Aucun des laboratoires pharmaceutiques suivants ne s’engage à mettre à jour les déclarations prospectives à la suite de nouvelles informations ou d’événements ou développements futurs : Janssen Pharmaceutica NV, Janssen-Cilag Limited, Janssen Biotech, Janssen Research and Development, LLC, Johnson & Johnson
Références
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[1] Moreno C., et al. First-Line Fixed-Duration Ibrutinib Plus Venetoclax (Ibr+Ven) Versus Chlorambucil Plus Obinutuzumab (Clb+O): 55-Month Follow-up from the Glow Study. Présentation orale lors de la réunion annuelle 2023 de l’American Society of Hematology 10 décembre 2023.
[2] Ghia P., et al. Fixed-duration ibrutinib + venetoclax for first-line treatment of chronic lymphocytic leukemia (CLL)/small lymphocytic lymphoma (SLL): up to 5 years of follow-up from the FD cohort of the phase 2 CAPTIVATE study. Présentation orale lors de la réunion annuelle 2023 de l’American Society of Hematology 10 décembre 2023.
[3] Moreno C., et al. First-Line Fixed-Duration Ibrutinib Plus Venetoclax (Ibr+Ven) Versus Chlorambucil Plus Obinutuzumab (Clb+O): 55-Month Follow-up from the Glow Study. Résumé no 634. Réunion annuelle 2023 de l’American Society of Hematology 10 décembre 2023.
[4] Ghia P., et al. Fixed-duration ibrutinib + venetoclax for first-line treatment of chronic lymphocytic leukemia (CLL)/small lymphocytic lymphoma (SLL): up to 5 years of follow-up from the FD cohort of the phase 2 CAPTIVATE study. Résumé no 633. Réunion annuelle 2023 de l’American Society of Hematology 10 décembre 2023.
[5] ClinicalTrials.gov. A Study of the Combination of Ibrutinib Plus Venetoclax Versus Chlorambucil Plus Obinutuzumab for the First-line Treatment of Participants With Chronic Lymphocytic Leukemia (CLL)/Small Lymphocytic Lymphoma (SLL) (GLOW). https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT03462719. Dernière consultation : Décembre 2023.
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[7] ClincialTrials.gov. Ibrutinib Plus Venetoclax in Subjects With Treatment-naive Chronic Lymphocytic Leukemia /Small Lymphocytic Lymphoma (CLL/SLL) (CAPTIVATE). https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT02910583. Dernière consultation : Décembre 2023.
[8] Allen J., et al. Treatment Outcomes After Undetectable MRD With First-Line Ibrutinib (Ibr) Plus Venetoclax (Ven): Fixed Duration Treatment (Placebo) Versus Continued Ibr With Up to 5 Years Median Follow-up in the CAPTIVATE Study. Réunion annuelle 2022 de l’American Society for Hematology (ASH). 10 décembre 2022.
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[18] Moreno C. Standard treatment approaches for relapsed/refractory chronic lymphocytic leukemia after frontline chemoimmunotherapy. Hematology Am Soc Hematol Educ Program. 2020;2020:33-40.
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