2024-09-16 

RYBREVANT®▼ (amivantamab) en association avec le lazertinib montre une tendance très favorable en matière de survie globale par rapport à l'osimertinib dans le cancer du poumon non à petites cellules avancé muté par l’EGFR

De nouvelles données à plus long terme issues de l'étude MARIPOSA confirment les résultats supérieurs de l'association amivantamab plus lazertinib par rapport à l'osimertinib en monothérapie en tant que traitement de première ligne1

Résultats d'une analyse intermédiaire communiqués lors d'une présentation orale de dernière minute lors de la WCLC1

BEERSE, Belgique, 11 sept. 2024 (GLOBE NEWSWIRE) -- Janssen-Cilag International NV, une société Johnson & Johnson, a annoncé ce jour disposer de données de suivi plus long issues de l'étude historique MARIPOSA de la Phase 3 démontrant qu'un traitement de première ligne par RYBREVANT®▼ (amivantamab) en association avec le lazertinib apportait un bénéfice constant en matière de résultats à long terme par rapport à l'osimertinib en monothérapie chez les patients adultes atteints d'un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) présentant des mutations du récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR) avec délétions de l'exon 19 (ex19del) ou substitution L858R.1 Les données démontrent une tendance solide et améliorée en matière de survie globale (SG) en faveur de l'association amivantamab plus lazertinib après environ trois ans de suivi.1 Ces résultats ont été communiqués dans le cadre d'une présentation orale de dernière minute lors de la conférence mondiale sur le cancer du poumon (World Conference on Lung Cancer, WCLC) 2024 organisée par l'International Association for the Study of Lung Cancer (IASLC), à San Diego, Californie, du 7 au 10 septembre (résumé n° 1146).1

Après trois ans (suivi médian de 31,1 mois), 61 pour cent des patients recevant l'association amivantamab plus lazertinib étaient toujours en vie, contre 53 pour cent des patients traités par osimertinib, selon une analyse réalisée à la demande d'une autorité sanitaire* (SG médiane non estimable [NE] par rapport à 37,3 mois ; rapport de risque [RR]=0,77 ; intervalle de confiance [IC] à 95 pour cent : 0,61-0,96 ; valeur P nominale=0,019).1 L'évaluation de la survie globale va se poursuivre avec un suivi à plus long terme en tant que critère d'évaluation secondaire clé.2 La mesure de résultat principale de l'efficacité était la survie sans progression (SSP), évaluée en relecture centralisée par un comité indépendant.1

« En associant le mécanisme multi-cibles de l'amivantamab au lazertinib, un inhibiteur de la tyrosine kinase de troisième génération qui pénètre dans le système nerveux central, nous faisons des progrès marqués vers un schéma sans chimiothérapie dans le traitement de première ligne pour les patients atteints d'un CPNPC muté par l'EGFR. Cette approche bloque les voies de l'EGFR et de MET et exploite le système immunitaire, pour offrir des bénéfices prolongés aux patients, » déclare Shirish M. Gadgeel, docteur en médecine, Chef du département d'hématologie et d'oncologie, Directeur Associé du Henry Ford Cancer Institute et auteur de la présentation.** « L'amélioration marquée du rapport de risque et la séparation continue des courbes de survie sont encore plus encourageantes, et démontrent une amélioration de huit pour cent à trois ans pour l'association amivantamab plus lazertinib par rapport à l'osimertinib. Cela confirme le bénéfice à long terme de l’association en tant qu’option de traitement de première intention dans ce contexte. »

Les résultats ont en outre mis en évidence le fait que l'association amivantamab plus lazertinib démontrait une tendance à un meilleur contrôle des maladies liées au système nerveux central par rapport à l'osimertinib à trois ans (RR=0,82 ; IC à 95 pour cent, 0,62-1,09 ; valeur P nominale=0,165).1 À trois ans, la SSP intracrânienne était deux fois plus élevée pour l'association amivantamab plus lazertinib par rapport à l'osimertinib (respectivement 38 pour cent contre 18 pour cent).1 Davantage de patients étaient encore sous traitement à trois ans avec l'association amivantamab plus lazertinib par rapport à l'osimertinib (respectivement 40 pour cent contre 29 pour cent ; RR=0,80 ; IC à 95 pour cent, 0,68-0,96 ; valeur P nominale=0,014).1 De plus, lors du suivi à trois ans, davantage de patients recevant l'association amivantamab plus lazertinib n'avaient pas commencé à recevoir de ligne de traitement ultérieure par rapport à ceux recevant l'osimertinib (respectivement 45 pour cent contre 32 pour cent ; RR=0,77 ; IC à 95 pour cent, 0,65-0,93 ; valeur P nominale=0,005).1 La survie sans progression après la première ligne de traitement ultérieure était de 57 pour cent pour l'association amivantamab plus lazertinib par rapport à 49 pour cent pour l'osimertinib (RR=0,73 ; IC à 95 pour cent, 0,59-0,91 ; valeur P nominale=0,004).1

« Chez Johnson & Johnson, nous nous engageons à faire progresser les soins dans le cadre du cancer du poumon, en mettant l'accent les thérapies de précision capables d'améliorer les résultats dès les premiers stades du traitement, » déclare Henar Hevia, titulaire d'un doctorat, Directrice Principale, Responsable du domaine thérapeutique de l'oncologie pour la zone EMEA, chez Johnson & Johnson Innovative Medicine. « Ces résultats de suivi à plus long terme issus de l'étude MARIPOSA viennent s'ajouter à la liste déjà longue de données qui étaient l'association amivantamab plus lazertinib en tant que schéma thérapeutique de première ligne potentiel pour les patients atteints d'un cancer du poumon non à petites cellules avancé muté par l'EGFR. »

« Des résultats prometteurs comme ceux présentés lors du WCLC s'inscrivent dans notre mission visant à améliorer la vie des patients présentant un diagnostic de cancer du poumon, » déclare Joshua Bauml, docteur en médecine, Vice-président, Leader du bastion des pathologies spécialisé dans le cancer du poumon, Johnson & Johnson Innovative Medicine. « La tendance favorable en matière de survie globale observée avec l’association amivantamab plus lazertinib est encourageante, et sommes avons hâte de voir comment ces données évolueront au fil du suivi des patients. »

Comme cela a été précisé précédemment dans le cadre de l'étude MARIPOSA, le profil d'innocuité était cohérent avec les rapports précédents issus d'études de la Phase 1 et 2.2 Le taux d'arrêt de tous les traitements de l'étude en raison d'effets indésirables liés au traitement pour l'association amivantamab plus lazertinib était de 10 pour cent, et de 3 pour cent pour l'osimertinib.2 Le taux de pneuomopathies interstitielles (y compris la pneumonite) était d'environ 3 pour cent dans les deux bras.2
 

 


À propos de l’étude MARIPOSA
L’étude MARIPOSA (NCT04487080), qui a inclus 1 074 patients, est une étude randomisée de la Phase 3 évaluant l’amivantamab en association avec le lazertinib par rapport à l’osimertinib et au lazertinib en monothérapie dans le traitement de première ligne des patients atteints d'un CPNPC localement avancé ou métastatique avec mutations ex19del de l’EGFR ou de substitution de L858R.2,3 Le critère d’évaluation principal de l’étude est la SSP (selon les critères RECIST v1.1) évaluée en relecture centralisée par un comité indépendant.3 Les critères d’évaluation secondaires comprennent la survie globale (SG), le taux de réponse global (TRG), la durée de réponse (DR), la deuxième survie sans progression (SSP2) et la SSP intracrânienne.3

À propos d'amivantamab
L'amivantamab est un anticorps bispécifique EGFR-MET entièrement humain dont l’action cible les tumeurs présentant des mutations activatrices et résistantes de l’EGFR ainsi que des mutations et amplifications MET, et exploite le système immunitaire.4,5,6,7
La Commission Européenne (CE) a accordé une autorisation de mise sur le marché pour l'amivantamab dans le cadre des indications suivantes :8
•    En association avec le carboplatine et le pémétrexed, dans le traitement de première ligne des patients adultes atteints d'un CPNPC avancé avec mutations d'insertion de l'exon 20 activatrices de l'EGFR
•    En monothérapie, pour le traitement des patients adultes atteints d'un CPNPC avancé avec mutations d'insertion de l'exon 20 activatrices de l'EGFR, après échec d'un traitement à base de platine.
•    En association avec le carboplatine et le pémétrexed, dans le traitement des patients adultes atteints d'un CPNPC avancé avec mutations par délétions de l'exon 19 ou substitution L858R de l'EGFR, après échec d'un traitement antérieur incluant un ITK de l'EGFR

En février 2024, une demande d'extension d'indication de Type II a été déposée auprès de l'EMA en fonction de l'étude MARIPOSA pour l'amivantamab en association avec le lazertinib dans le traitement de première ligne des patients adultes atteints d'un CPNPC avancé présentant les mutations de l'EGFR fréquentes par délétion ex19del ou substitution L858R.9 En mai 2024, une demande d'extension de l'autorisation de mise sur le marché de l'amivantamab a été déposée afin d'obtenir l'autorisation de l'utilisation d'une formulation sous-cutanée (SC) de l'amivantamab en association avec le lazertinib dans le traitement de première ligne des patients adultes atteints d'un CPNPC avancé avec mutations ex19del ou L858R de l'EGFR, et pour l'utilisation de l'amivantamab en monothérapie par voie SC chez les patients adultes atteints d'un CPNPC avancé avec mutations d'insertion de l'exon 20 activatrices de l'EGFR, après échec d'un traitement à base de platine.10
Pour obtenir une liste complète des effets indésirables et des informations concernant la posologie et l’administration, les contre-indications et les autres précautions d’emploi de l’amivantamab, veuillez consulter le Résumé des Caractéristiques du Produit.8
▼ Conformément à la réglementation de l’EMA relative aux nouveaux médicaments, l’amivantamab fait l’objet d’une surveillance supplémentaire.

À propos de lazertinib
En 2018, Janssen Biotech, Inc. a conclu un accord de licence et de collaboration avec Yuhan Corporation pour le développement de lazertinib. Le lazertinib est un ITK de l'EGFR oral de troisième génération qui pénètre dans le cerveau et cible à la fois la mutation T790M et les mutations activatrices de l'EGFR, tout en épargnant l'EGFR de type sauvage.11 Une analyse de l'efficacité et de l'innocuité du lazertinib issue des données de l'étude LASER301 de la Phase 3 a été publiée dans The Journal of Clinical Oncology en 2023.11

À propos du cancer du poumon non à petites cellules
En Europe, on estime que 484 306 personnes ont reçu un diagnostic de cancer du poumon en 2022.12 Le CPNPC représente 85 pour cent de tous les cas de cancer.13 Le cancer du poumon est le cancer le plus meurtrier en Europe, avec plus de décès que le cancer du sein et le cancer de la prostate combinés.12
Les principaux sous-types de CPNPC sont l'adénocarcinome, le carcinome épidermoïde et le carcinome à grandes cellules.13 Parmi les mutations « driver » les plus fréquentes dans le CPNPC figurent les altérations de l'EGFR, un récepteur à activité tyrosine kinase contrôlant la croissance et la division cellulaires.13,14 Les mutations de l'EGFR sont présentes chez 10 à 15 pour cent des patients occidentaux atteints d'un CPNPC avec histologie d'adénocarcinome et chez 40 à 50 pour cent des patients asiatiques.15,16,17,18 Les mutations ex19del ou L858R de l'EGFR sont les mutations de l'EGFR les plus fréquentes.19 Le taux de survie à cinq ans pour les patients atteints d'un CPNPC avancé présentant des mutations de l'EGFR traités par des ITK de l'EGFR est inférieur à 20 pour cent, et 25 à 32 pour cent des patients recevant osimertinib, le traitement de première ligne de référence actuel, ne restent pas en vie suffisamment longtemps pour accéder au traitement de deuxième ligne.20,21,22

À propos de Johnson & Johnson
Chez Johnson & Johnson, nous pensons que la santé est essentielle. Nous sommes force d’innovation dans le domaine des soins de santé et nous bâtissons un monde où les maladies complexes sont évitées, traitées et guéries, où les traitements sont plus intelligents et moins invasifs, et où les solutions sont personnalisées. Grâce à notre expertise en matière d’innovation au service de la médecine et de technologie médicale, nous sommes particulièrement bien placés pour apporter un souffle nouveau à l’ensemble des solutions de santé d’aujourd’hui afin de réaliser les percées de demain et d’avoir un impact profond sur la santé de l’humanité.     
Pour en savoir plus, consultez le site www.janssen.com/emea Suivez-nous sur www.linkedin.com/company/jnj-innovative-medicine-emea.
Janssen Cilag, S.A, Janssen Research & Development, LLC, Janssen-Cilag International NV et Janssen Biotech, Inc., sont des sociétés de Johnson & Johnson.

Mises en garde concernant les déclarations prospectives
Le présent communiqué de presse contient des « déclarations prospectives », telles que définies dans le Private Securities Litigation Reform Act de 1995, concernant le développement des produits et les bénéfices potentiels ainsi que l’impact du traitement par amivantamab et lazertinib. Il est conseillé au lecteur de ne pas s’y fier indûment. Ces énoncés reposent sur les attentes actuelles d’événements futurs. Si les hypothèses sous-jacentes s'avèrent inexactes ou si des risques ou incertitudes connus ou inconnus se matérialisent, les résultats réels pourraient différer sensiblement des attentes et des projections de Janssen Cilag, S.A, Janssen Research & Development, LLC, Janssen-Cilag International NV, Janssen Biotech, Inc., et/ou Johnson & Johnson. Les risques et incertitudes comprennent, sans s’y limiter : les défis et incertitudes inhérents à la recherche et au développement de produits, notamment l’incertitude de succès clinique et d’obtention des autorisations réglementaires, l’incertitude du succès commercial, les difficultés et retards de fabrication, la concurrence, et particulièrement les avancées technologiques, les nouveaux produits et les brevets obtenus par les concurrents, les contestations de brevets, les problèmes d’efficacité ou d’innocuité entraînant des rappels de produits ou des mesures réglementaires, les changements de comportement et les habitudes de consommation des acheteurs de produits et services de soin de santé, les amendements apportés aux lois et réglementations applicables, y compris les réformes mondiales des soins de santé, et les tendances en matière de maîtrise des coûts des soins de santé. Une liste et des descriptions supplémentaires de ces risques, incertitudes et autres facteurs peuvent figurer dans le rapport annuel de Johnson & Johnson sur le formulaire 10-K pour l’exercice clos le 31 décembre 2023, y compris dans les sections intitulées « Mise en garde concernant les déclarations prospectives » et « Rubrique 1A. Facteurs de risque » et dans les rapports trimestriels ultérieurs de Johnson & Johnson sur le formulaire 10-Q et autres documents déposés auprès de la Securities and Exchange Commission. Des copies de ces documents sont disponibles en ligne sur www.sec.gov, www.jnj.com ou sur demande auprès de Johnson & Johnson. Aucune des sociétés Janssen Cilag, S.A, Janssen Research & Development, LLC, Janssen-Cilag International NV, Janssen Biotech, Inc., ni Johnson & Johnson ne s’engagent à mettre à jour les déclarations prospectives à la suite de nouvelles informations ou d’événements ou développements futurs. 
© Janssen-Cilag International NV, Inc. 2024. Tous droits réservés.  

 
*Cette analyse a été demandée par les autorités sanitaires et a nécessité des dépenses alpha nominales. Une valeur P ≤0,00001 était requise pour la signification statistique.
**Le Docteur Shirish M. Gadgeel a fourni des services de conseil, de consultation et de porte-parole à Johnson & Johnson ; il n’a reçu aucune rémunération pour des travaux en lien avec les médias.
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1 Gadgeel SM, et al. Amivantamab Plus Lazertinib vs Osimertinib in First-line EGFR-mutant Advanced NSCLC: Longer Follow-up of the MARIPOSA Study. IASLC WCLC 2024. 8 septembre 2024.
2 Cho BC, et al. Amivantamab Plus Lazertinib in Previously Untreated EGFR-Mutated Advanced NSCLC. The New England Journal of Medicine 2024. doi:10.1056/NEJMoa2403614. Disponible à l'adresse : https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2403614. Dernière consulté en septembre 2024.
3 ClinicalTrials.gov. A Study of Amivantamab and Lazertinib Combination Therapy Versus Osimertinib in Locally Advanced or Metastatic Non-Small Cell Lung Cancer (MARIPOSA). Disponible à l'adresse : https://classic.clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04487080. Dernière   consulté en septembre 2024.
4 Grugan KD, et al. Fc-mediated activity of EGFR x c-Met bispecific antibody JNJ-61186372 enhanced killing of lung cancer cells. MAbs 2017;9(1):114-126.
5 Moores SL, et al. A Novel Bispecific Antibody Targeting EGFR and cMet Is Effective against EGFR Inhibitor-Resistant Lung Tumors. Cancer Res 2016;76(13)(suppl 27216193):3942-3953.
6 Yun J, et al. Antitumor Activity of Amivantamab (JNJ-61186372), an EGFR–MET Bispecific Antibody, in Diverse Models of EGFR Exon 20 Insertion–Driven NSCLC. Cancer Discov 2020;10(8):1194-1209.
7 Vijayaraghavan S, et al. Amivantamab (JNJ-61186372), an Fc Enhanced EGFR/cMet Bispecific Antibody, Induces Receptor Downmodulation and Antitumor Activity by Monocyte/Macrophage Trogocytosis. Mol Cancer Ther 2020;19(10):2044-2056.
8European Medicines Agency. Amivantamab Summary of Product Characteristics. Juillet 2024. Disponible à l'adresse : https://www.ema.europa.eu/en/documents/product-information/rybrevant-epar-product-information_en.pdf. Dernière consulté en septembre 2024.
9 Janssen.com/EMEA. Janssen Submits Type II Extension of Indication Application to the European Medicines Agency Seeking Approval of RYBREVANT®▼ (amivantamab), in combination with Lazertinib, for the First-Line Treatment of Patients with EGFR Mutated Non-Small Cell Lung Cancer. Disponible à l’adresse : https://www.janssen.com/emea/sites/www_janssen_com_emea/files/amivantamab_mariposa_ema_filing_release_2024_2.pdf. Dernière consulté en septembre 2024.
10 Janssen.com/EMEA. Johnson & Johnson dépose auprès de l’Agence européenne des médicaments une demande d’autorisation de la formulation sous-cutanée de RYBREVANT®▼ (amivantamab) pour le traitement des patients atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules avec mutations de l’EGFR. Disponible à l'adresse : https://www.globenewswire.com/news-release/2024/05/31/2891769/0/en/Johnson-Johnson-submits-application-to-the-European-Medicines-Agency-seeking-approval-of-subcutaneous-formulation-of-RYBREVANT-amivantamab-for-the-treatment-of-patients-with-EGFR-m.html. Dernière consulté en septembre 2024.
11 Cho, BC, et al. Lazertinib versus gefitinib as first-line treatment in patients with EGFR-mutated advanced non-small-cell lung cancer: Results From LASER301. J Clin Oncol. 2023;41(26):4208-4217.
12 Global Cancer Observatory. Cancer Today. Disponible à l'adresse : https://gco.iarc.who.int/media/globocan/factsheets/populations/908-europe-fact-sheet.pdf. Dernière consulté en septembre 2024.
13 Zappa C, et al. Non-small cell lung cancer: current treatment and future advances. Transl Lung Cancer Res 2016;5(3):288–300.
14 Wee P & Wang Z. Epidermal Growth Factor Receptor Cell Proliferation Signaling Pathways. Cancers 2017;9(12):52.
15 Pennell NA, et al. A phase II trial of adjuvant erlotinib in patients with resected epidermal growth factor receptor-mutant non-small cell lung cancer. J Clin Oncol 2019;37(2):97-104.
16 Burnett H, et al. Epidemiological and clinical burden of EGFR exon 20 insertion in advanced non-small cell lung cancer: a systematic literature review. Résumé présenté lors de la réunion annuelle de la conférence mondiale sur le cancer du poumon ; 29 janvier 2021 ; Singapour.
17 Zhang YL, et al. The prevalence of EGFR mutation in patients with non-small cell lung cancer: a systematic review and meta-analysis. Oncotarget. 2016;7(48):78985- 78993.
18 Midha A, et al. EGFR mutation incidence in non-small-cell lung cancer of adenocarcinoma histology: a systematic review and global map by ethnicity. Am J Cancer Res 2015;5(9):2892-2911.
19 American Lung Association. EGFR and Lung Cancer. Disponible à l'adresse : https://www.lung.org/lung-health-diseases/lung-disease-lookup/lung-cancer/symptomsdiagnosis/biomarker-testing/egfr. Dernière consulté en septembre 2024.
20 Lin JJ, et al. Five-Year Survival in EGFR-Mutant Metastatic Lung Adenocarcinoma Treated with EGFR-TKIs. J Thorac Oncol 2016;11(4):556-65.
21 Nieva J, et al. A real-world (rw) observational study of long-term survival (LTS) and treatment patterns after first-line (1L) osimertinib in patients (pts) with epidermal growth factor receptor (EGFR) mutation-positive (m) advanced non-small cell lung cancer (NSCLC). Ann Oncol 2023;34, S774.
22 Girard N, et al. Mortality among EGFR-mutated advanced NSCLC patients after frontline osimertinib treatment: A real-world, US attrition analysis. J Thorac Oncol 2023;18(4), S51-52.

 

 

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