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2021-12-22 

Depixus lève 30,6 millions d’euros (35,4 millions d’euros de dollars) dans un financement de série A

– Le financement soutiendra le développement d’un système d’instrumentation commercial basé sur MAGNA™, la technologie exclusive et innovatrice de la société.
– MAGNA™ est destiné à ouvrir le domaine de la dynamique du génome.
– Les fonds levés auprès d’un syndicat d’investisseurs mondial dirigé par Lansdowne Partners et Bpifrance, opérateur pour le compte de l’Etat, sont soutenus par des fonds apportant une expérience supplémentaire dans le secteur des sciences de la vie.


Depixus®, une société de biotechnologie qui développe une technologie unique pour l’extraction rapide, précise et simple d’informations multi-omiques à partir de l’ADN, l’ARN et des protéines, a annoncé aujourd’hui avoir levé 30,6 millions d’euros dans le cadre d’un financement de série A sursouscrit. Les fonds seront utilisés pour poursuivre le développement de son propre système d’instrumentation MAGNA™, de ses flux de travail et réactifs en prévision du lancement commercial. L‘exercice a été mené conjointement par Lansdowne Partners et auprès du Fonds PSIM (Programme de Soutien à l’Innovation Majeure), opéré pour le compte de l’Etat par Bpifrance dans le cadre du Programme d’investissements d’avenir (PIA), avec la participation de Casdin Capital et d’investisseurs existants, dont Arix Bioscience. Ce financement porte le total des fonds propres et des subventions de la société à ce jour à plus de 41 millions d’euros (47 millions de dollars).

Avec MAGNA™, un grand nombre de molécules individuelles d’ADN et d’ARN sont capturées dans leur forme native, immobilisées dans une « Flow Cell », et sont ainsi disponibles pour des interrogations répétées. Elles peuvent révéler un large éventail de caractéristiques, notamment la modification de bases, la structure moléculaire et les interactions avec d’autres acides nucléiques, protéines ou des molécules d’intérêt thérapeutique. Ces capacités ouvrent des perspectives jusqu’alors inaccessibles pour l’étude du « Génome dynamique », c’est-à-dire des niveaux d’informations situées au-delà de la séquence codante à quatre bases de l’ADN et l’ARN, qui sont essentielles à l’expression, la régulation et le contrôle des gènes.

Veuillez trouver le communiqué de presse complet en cliquant sur ce lien


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