Le programme SRSEI a été créé pour donner les moyens aux scientifiques travaillant dans des laboratoires français ayant déposé en tant que coordinatrice/coordinateur un projet de recherche à des appels collaboratifs européens (Horizon Europe) ou internationaux de renforcer la qualité de leur candidature (proposition complète ou audition) pour la dernière étape de l’appel visé.

Dans le cadre de cet appel, seules sont attendues des propositions ayant pour objet de renforcer un réseau scientifique européen ou international, coordonné par une équipe française ayant été invité à poursuivre sa candidature à la dernière étape d’un appel Européen ou international en plusieurs étapes.

Le CNRS et le Cerfacs recherchent leur futur·e directeur·rice pour l'unité CECI (UMR 5318), un laboratoire jouant un rôle important dans l'animation de la communauté des Sciences de l'Univers, principalement dans le domaine du climat, des interactions Océan-Atmosphère et de la simulation numérique pour l'étude des changements climatiques et environnementaux.

 

Cet appel vise à soutenir des programmes de recherche innovants, transdisciplinaires, fondamentaux, translationnels ou cliniques, sur la maladie de von Hippel-Lindau. Toutes les disciplines des Sciences Biomédicales et Sciences Humaines et Sociales sont éligibles. Les projets d’étude du cancer du rein, même dans le contexte du von Hippel-Lindau, ne sont pas éligibles à cet appel à projets. L’association souhaite soutenir toute recherche visant la compréhension pathophysiologique de la maladie, l’amélioration du diagnostic, le développement de meilleures modalités de prise en charge et/ou le développement de stratégies thérapeutiques, avec une attention marquée pour des travaux concernant les hémangioblastomes du système nerveux.

Critères d’éligibilité

Le projet devra formuler explicitement une question de recherche traitant des problématiques spécifiquement liées à la maladie de von Hippel-Lindau. Le projet devra démontrer son originalité, sa faisabilité et l’expertise des chercheurs impliqués. Le responsable scientifique du projet (« porteur principal ») doit être un chercheur ou enseignant-chercheur, statutaire permanent, relevant d’un organisme de recherche publique4 français. Il est attendu une correspondance indiscutable entre la principale méthodologie mise en œuvre dans le projet et l’expertise du porteur principal. Les projets de collaboration impliquant plusieurs équipes sont encouragés. 

Financement
Cet appel à projets de recherche prévoit un soutien financier maximum de 30 000 €, pour une durée maximale de 18 mois.

Le financement accordé peut couvrir, à condition qu’ils soient entièrement et exclusivement dédiées à la réalisation des travaux de recherche, les frais de :
- Personnel temporaire (hors personnel administratif).
- Équipement, à hauteur maximale de 2 000 € (dépassement éventuel à justifier précisément dans le formulaire de réponse),
- Consommables.
- Mission, à hauteur maximale de 2 000 € (dépassement éventuel à justifier précisément dans le formulaire de réponse),
- Prestations de service, sous réserve qu’elles ne portent que sur l'exécution d'une partie très limitée du projet (10% maximum du budget).

Aucun coût d’environnement ni frais de gestion ne sont éligibles. Le financement doit être réaliste, raisonnable, détaillé poste par poste et pleinement justifié.

Ouverture de l’appel à candidature pour la 13ème édition du Prix National de la Fondation du patrimoine pour l’Agrobiodiversité animale.

Le prix récompense 3 éleveurs, organisations ou associations qui s’engagent pour préserver des espèces locales menacées de disparition.

Plus de 300 000 € versés à 37 lauréats depuis 12 ans pour défendre et protéger des espèces en voie de disparition.

Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 6 janvier 2025 sur le site de la Fondation du patrimoine.

Le CNRS initie des dialogues bilatéraux avec les grands acteurs de la recherche mondiale autour de « PhD Joint Programmes ». Chaque projet conjoint sélectionné permettra le financement d’une bourse doctorale sur 3 ans, et de mobilité entre la France et le pays partenaire.

Pour chaque projet, il y aura deux porteurs — un porteur CNRS et un porteur dans l’institution partenaire — et deux doctorants, l’un de l’UMR CNRS et l’autre de l’université partenaire.

SALTO est un programme d'échange stratégique entre le CNRS et la Max-Planck-Gesellschaft (MPG). Clôture des soumissions-22 janvier 2025 | SALTO is a strategic exchange programme between the Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) and the Max-Planck-Gesellschaft (MPG).

Cet appel a pour objectif de financer la mobilité de jeunes chercheurs/chercheuses dans un institut Max Planck en Allemagne dans le cadre de leur projet de recherche sur une période de 4 à 10 mois.  L’appel à candidatures est ouvert aux doctorant.e.s à partir de la 2è année de thèse et aux post-doctorant.e.s, affecté.e.s dans les laboratoires du CNRS.

Critères d’éligibilité : 
Cet appel s’adresse uniquement aux jeunes scientifiques – doctorant.e.s et post-doctorant.e.s –  employés dans une unité CNRS.

Thématiques : Toutes les propositions dans tous les domaines scientifiques seront considérées sans exception.

Financement : L’aide reçue financera exclusivement la mobilité d’un jeune chercheur ou d’une jeune chercheuse dans un institut Max Planck en Allemagne, dans le cadre du projet de recherche (voyage sur ordre de mission de l’employeur et séjour en Allemagne)

Cet appel à projets vise à soutenir les chercheuses.eurs et enseignant.e.s-chercheuses.eurs des unités de recherche CNRS qui ont l’intention de déposer, en tant que coordinatrice/coordinateur, un projet collaboratif dans le cadre d’Horizon Europe.

Eligibilité :
Sont éligibles dans le cadre de l’appel AMORCE toutes les propositions visant à constituer un réseau scientifique européen en vue de déposer un projet européen collaboratif toutes disciplines confondues :
ERC-Synergy,
MSCA (à l’exception des bourses individuelles Postdoctoral Fellowships)
Les projets Infrastructures du pilier 1
Tous les projets collaboratifs du pilier 2
Les projets collaboratifs du pilier 3 (EIC) et les projets collaboratifs du pilier transversal (Widening, COST).

Les candidat.e.s à un financement AMORCE sont invité.e.s à envisager la possibilité d’inclure dans leur consortium des partenaires de pays non membres de l’union européenne (informations complémentaires dans le texte de l’appel)

Ces propositions devront être coordonnées par un.e chercheuse.eur CNRS ou un.e enseignant.e – chercheuse.eur affecté.e dans une UPR, UAR, UMR ou IRL du CNRS, que le laboratoire soit ou non en gestion CNRS.

Les projets sélectionnés recevront une aide maximale de 10 000€ qui devra être dépensée dans l’année 2025 (subvention FEI du CNRS). La/le porteuse.eur de projet pourra demander à bénéficier de l’aide d’un.e Ingénieur.e Projets Européens (IPE) dans le formulaire de candidature.

Axes et thèmes de recherche :
Tous domaines scientifiques, tous thèmes pluri-(inter)disciplinaires.

Cet appel vise à soutenir les projets d’industrialisation dans les secteurs de la biothérapie et bioproduction de thérapies innovantes, de la lutte contre les maladies infectieuses émergentes et les menaces NRBC, des dispositifs médicaux et dispositifs de diagnostic in vitro et de relocalisation ou renforcement de la chaîne de valeur des médicaments essentiels.

L’appel à projets « Industrialisation et Capacités Santé 2030 » est un dispositif d’aide s’inscrivant dans le cadre du plan Innovation Santé 2030 dans lequel le Gouvernement a identifié 3 secteurs aux problématiques d’industrialisation stratégiques pour l’avenir de nos industries de santé et pour notre souveraineté. 

Les projets attendus devront répondre aux problématiques spécifiques précisées en annexe du cahier des charges pour chaque volet.

Cet appel à projets a pour ambition de financer des évaluations cliniques post marquage CE. Ces évaluations doivent être ambitieuses et précises afin de constituer l’étape ultime avant une prise en charge par la solidarité nationale, ou la finalisation d‘un modèle médico-économique en vue d’un achat par un établissement de soins.



 

Dans le cadre du Plan France 2030, le Gouvernement a lancé la stratégie d’accélération « Biothérapies et bioproduction de thérapies innovantes ». Le développement des biothérapies (protéines recombinantes, anticorps, vaccins) et des médicaments de thérapies innovantes (médicaments de thérapie génique, médicament de thérapie cellulaire somatique, médicaments issus de l’ingénierie cellulaire ou tissulaire, médicaments combinés de thérapie innovante) est une véritable opportunité pour mieux soigner les patients mais dont le coût pourrait poser un problème de soutenabilité pour les finances publiques sans un effort important de compétitivité.

Contexte et objectifs de l'appel à projets

Dans un contexte de forte compétition internationale, les territoires doivent se différencier pour se rendre visibles et attractifs. La Région Pays de la Loire est un espace d’innovation couvrant un ensemble de filières stratégiques et de domaines d’excellence pour lesquels elle dispose d’avantages compétitifs.

Cette dynamique s’appuie sur un écosystème structuré et solide composé notamment de dix pôles de compétitivité, en soutien à un vivier important de startups et d’entreprises innovantes du numérique à l’immunologie, aéronautique, naval, EMR, industrie agro-alimentaire, santé, électronique, mobilités décarbonées, robotique, technologies avancées de production, internet des objets, photonique et biotechnologies. Ces entreprises innovantes vont favoriser la transition de l’économie régionale et participer à la croissance de demain et des emplois futurs.

Mais les entreprises, souvent de petites tailles, ne disposent pas toujours de la masse critique suffisante, et doivent être confortées et accompagnées dans le développement de leurs projets innovants et leur croissance.

C’est en s’appuyant sur ce constat que l’Etat et la Région Pays de la Loire souhaitent apporter leur soutien aux partenaires de recherche, aux PME et ETI engagées dans une démarche de recherche, de développement et d’innovation en lien avec la recherche académique, afin de favoriser leur croissance et leur compétitivité.

Le Gouvernement a mis en place une politique ambitieuse de soutien à l’innovation, en particulier à destination des acteurs émergents.

Dans le cadre du plan d’investissement France 2030, l’appel à projets « Première usine » vise à accélérer l’émergence de premières réussites d’industrialisation par des start-ups industrielles, ou PME /ETI innovantes.